La question des spécificités des différentes formes de brand content se pose en permanence.
J’ai donc publié successivement deux tribunes dans la newsletter Frenchweb :
- une tribune sur le content marketing, levier d’efficacité du brand content
- une tribune sur les perspectives du branded entertainment.
Ces tribunes font suite à une autre tribune consacrée au potentiel du Native advertising.
En comparaison, le brand content regroupe toutes les formes d’expression de la marque :
. Contenus liés aux produits et services, parfois baptisés “product content” : photos et vidéos produit, fiches produit, tutoriels…
. Contenus motivés pour créer du lead et de la conversion : content marketing, mais aussi inbound marketing, qui considère le contenu comme un appât ou un aimant.
. Contenus éditoriaux : diffusés sur les sites, applis, blogs, magazines…
. Contenus relationnels (CRM) : newsletters, programmes relationnels, chatbots…
. Contenus sociaux, relayés via les médias sociaux : YouTube, Facebook, Instagram, LinkedIn…
. Contenus publicitaires, contraints par le média de diffusion (20 secondes, 4 m X 3m, etc.).
. Native advertising : co-produit en utilisant des formes stylistiques ou ressources des médias.
. Brand entertainment, dont la fonction est de divertir et d’émouvoir : courts métrages, clips musicaux, web-séries, jeux…
. Contenus éducatifs : MOOC, e-learning, ludo-éducatif…
. Contenus ludiques et immersifs : jeux physiques et virtuels, VR, RA…
. Contenus d’entreprises : rapports annuels, livres blancs…, produits par les collaborateurs et les dirigeants, symposiums.
. Contenus issus du sponsoring et du mécénat, où la marque est visible.
. Contenus culturels et artistiques diffusés par la marque : arts plastiques, expositions, musiques, œuvres littéraires, spectacles…
. Contenus sur le lieu de vente : PLV, vitrine, installations, démonstrations.
. Lieux de marque : pop-up stores, expositions et événements, formes d’expression dans l’espace.